Faisant écho au Fragments du discours amoureux de Roland Barthes (1977), ce photo-roman montre les décors intimes d’une relation amoureuse, depuis le début de sa relation — là où l’amour nait d’un simple geste d’épaules ou d’un unique croisement de regards — jusqu’à sa fin, au moment où les amoureux et les amoureuses brisent leurs liaisons pour partir découvrir d’autres décors tout aussi imprégnés de sens, de sensations et d’images nouvelles. 
Ces images incarnent des cartes postales d’une relation amoureuse, sur lesquels ils sont inscrits des messages de leurs moments de complicité, de volupté ou de déchirure, afin de créer un ensemble poétique, laissant place à la contemplation de moments intimes. Car, l’amour ne relève-t-il pas de ce qui s’exprimerait au-delà de l’ensemble de ces images et de ces mots? 
Fragments d’un récit amoureux dévoile les sens cachés de ces moments vécus entre deux personnes qui s’aiment, et au travers desquels ils essaient de former une communion de leurs êtres, de leurs univers poétiques ainsi que de leurs mondes quotidiens.
Echoing Roland Barthes' Fragments du discours amour (1977), this storytelling consists of showing the intimate settings of a romantic relationship, from the beginning of its relationship — where love is born from a simple gesture of shoulders or a single cross of eyes — until its end, when the lovers break their liaisons to leave to discover other settings equally imbued with meaning, sensations and new images.
These images embody postcards of a romantic relationship, on which they are inscribed with messages of their moments of complicity, voluptuousness or heartbreak, in order to create a poetic whole, leaving room for the contemplation of intimate moments. Because, doesn't love come from what would be expressed beyond all of these images and these words?
Fragments of a love story reveals the hidden meanings of these moments lived between two people who love each other, and through which they try to form a communion of their beings, their poetic universes as well as their daily worlds.
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